

Vous avez sûrement déjà connu ce moment bien relou où votre ordi plante… et là, panique : tous vos fichiers ont disparu. Photos de vacances, factures, projets boulot — envolés. Et on se dit toujours la même chose : “J’aurais dû faire une sauvegarde”. Ou une meilleure, plutôt. Alors, la vraie question c’est : on mise sur le cloud ou sur un bon vieux disque dur externe ?
Franchement, y’a pas une réponse unique. Ça dépend de votre usage, de votre mode de vie, et même un peu de votre caractère. Perso, j’ai longtemps été team disque dur, le genre à trimballer un petit WD noir partout dans mon sac, jusqu’au jour où je l’ai oublié dans un Airbnb à Barcelone. Depuis, j’ai commencé à creuser les solutions cloud, et j’ai découvert des trucs assez bluffants. En passant, si vous voulez un bon comparatif de solutions cloud bien fichu, jetez un œil à https://extrasphere.fr, c’est clair, synthétique, et sans bla-bla technique inutile.
Le disque dur externe : le côté rassurant du « physique »
Commençons par le plus concret : le disque dur externe. C’est simple, palpable, direct. Vous branchez, vous copiez, terminé. Pas de connexion internet, pas d’abonnement mensuel, juste vous et votre petit boîtier. En 2025, on trouve des modèles de 2 To pour moins de 80 €. Et niveau vitesse, les SSD USB-C actuels sont carrément réactifs (on parle de 500 Mo/s facile).
Mais… (parce qu’il y a toujours un « mais ») : c’est fragile. Un choc, une chute, un vol ou même une simple panne et bim, tout peut disparaître. Et puis il faut penser à le brancher régulièrement, à organiser ses sauvegardes. Soyons honnêtes : combien de fois vous l’avez vraiment fait ce mois-ci ?
Le cloud : la liberté, mais à quel prix ?
Le cloud, c’est un peu le Netflix de la sauvegarde. Vos fichiers sont en ligne, accessibles de n’importe où, synchronisés automatiquement. Vous partez en week-end à Lyon, votre ordi reste à la maison ? Aucun souci, vos docs sont toujours dans votre poche via le smartphone. Et les services comme Google Drive, Dropbox, iCloud ou OneDrive offrent tous des systèmes de versionnage, super utiles pour récupérer un fichier modifié par erreur.
Mais soyons clairs : le cloud n’est pas magique. Il y a des contreparties. D’abord, c’est un abonnement. Même si les premiers gigas sont gratuits, pour 1 To ou plus, il faut souvent compter 5 à 10 €/mois. Et surtout, ça dépend d’Internet. Si vous êtes à la campagne ou souvent en déplacement sans réseau stable, c’est galère. Ah, et niveau vie privée ? Ben… faut faire confiance. Vos données sont hébergées quelque part, parfois à l’étranger, et on ne sait pas toujours très bien qui peut y accéder.
Alors, on choisit quoi ?
Vous me voyez venir : la meilleure option, c’est souvent les deux. On appelle ça la stratégie 3-2-1 : 3 copies de vos données, sur 2 supports différents, dont 1 hors site (aka le cloud). C’est un peu comme porter une ceinture et des bretelles. C’est pas sexy, mais quand ça sauve vos photos de famille, vous êtes bien content.
Si vous bossez beaucoup avec des fichiers lourds (vidéo, audio, design), je trouve que le disque dur reste indispensable. Ne serait-ce que pour éviter de saturer votre cloud en deux semaines. Par contre, pour les fichiers bureautiques, les sauvegardes quotidiennes, les archives qu’on veut retrouver vite… le cloud est juste ultra pratique.
Un petit mot sur la sécurité
Important : peu importe la solution, la sécurité, c’est vous. Un disque dur non chiffré, c’est comme laisser ses clés de voiture sur le pare-brise. Et un cloud mal protégé, c’est une porte ouverte aux hackers. Activez la double authentification, utilisez des mots de passe costauds, et chiffrez vos données sensibles.
Et vous, vous êtes plutôt cloud ou disque dur ? Ou les deux ? Dites-le franchement : est-ce que vos données sont vraiment en sécurité aujourd’hui ? C’est peut-être le moment d’y réfléchir sérieusement.
En résumé :
- Disque dur externe : pas d’abonnement, rapide, mais fragile et local.
- Cloud : accessible partout, sécurisé (en théorie), mais dépendant d’Internet et parfois payant.
- Le combo des deux : c’est la base si vous tenez vraiment à vos fichiers.
Et surtout, retenez ça : sauvegarder une fois, c’est bien. Automatiser, c’est mieux.